Emportés dans notre élan, c’est une petite fantaisie que l’on s’autorise souvent. Mais qu’en pensent-elles?
Ah, la levrette . Position préférée des hommes, et peut-être des femmes aussi, elle garde un charme animal tout particulier. Un côté « wild sex » qui fait que tout le monde y trouve son compte, à priori.
Et parfois, quand on est vraiment à balle, il y a un truc que l’on se permet. Un petit dérapage, pas méchant: balancer quelques claques bien senties sur le postérieur de la meuf. Pourquoi ? On ne sait pas. C’est comme ça, c’est instinctif , c’est une envie. Un peu comme de lui tirer les cheveux ou de lui mettre les doigts dans la bouche.
Bon parfois, on hésite un peu quand même. Va-t-elle mal le prendre, se formaliser ? Ca serait dommage de plomber l’ambiance pendant un si beau moment.
Clairement, il paraît déplacé, même aux plus bourrins d’entre nous, de se permettre ça dès la première fois. Sauf peut-être si on est très alcoolisé, ce qui donne une bonne excuse à être un peu foufou. Ou à moins que ce soit réclamé, bien sûr. Ou encore en cas de rapport avec une professionnelle, de type prostituée ou pornstar.
Mais qu’en pensent les filles de la vraie vie ? Trouvent-elles ça avilissant d’être claquées à la croupe comme une jument un peu lente? Ou au contraire, excitant ?
Marie, 23 ans et ouverte d’esprit, n’en fait pas tout un plat : « En fait, ça m’amuse. C’est marrant. Le sexe, ce n’est pas la vraie vie, on est la pour se faire plaisir, pas pour jouer les mijaurées. » Bon esprit.
Julia, 29 ans, est toute aussi souple : « Je trouve ça excitant, c’est un jeu, c’est tout. Mais il faut que ça soit avec mon mec, pas avec un mec de passage. Là je peux mal le prendre. » Intéressant. Quant à Maud, 22 ans, elle se contentera juste de nous répondre avec un sourire : « J’adore .»
En fait, nous n’avons pas trouvé de filles qui étaient vraiment contre le principe. Mais elles soulignent toutes plus ou moins la même chose : il faut que ce soit proposé au bon moment, passé un certain degré d’excitation. Pas dès le début.
Ensuite, il ne faut pas que ça soit douloureux. C’est plus un truc symbolique que vraiment sensoriel, cette histoire de spanking.
Autre point souligné par ces dames : il faut délivrer avec parcimonie. Deux, trois, maximum quatre slaps, mais pas plus. Ca va quand même, mollo. C’est pas une fessée.
Forts de ces avis, nous conclurons en disant qu’il faut le faire si on le sent bien. Si on est dans le bon rythme, dans le bon flow. Et dans le bon niveau d’intimité avec la fille.
Et puis bon, si elle le prend mal, c’est probablement que c’est une relou, voire pire, une féministe.
Et dans ces cas-là, mieux vaut probablement aller fesser le cul de quelqu’un de plus relax.
Bonne chance !